Dans ce livre « Uzzo Il Re » (La folie du pouvoir), je me suis moqué des pouvoirs en place, de ceux qui ont du succès et se sentent invincibles, aimés, glorifiés, alors qu’en réalité, ce n’est qu’une bulle de savon, il suffit de peu de choses pour faire s’écrouler l’immeuble.

En écrivant ces lignes, j’ai repensé à l’époque où j’étais président des Comités à Paris (Comité élu des Italiens à l’étranger), j’ai rencontré des gens médiocres, des lécheurs des bottes prêts à tout pour être invités dans les palaces à manger et à boire en grignotant et à s’en vanter ensuite auprès de leurs amis.
Quant aux politiciens, ils ne pensent qu’à leurs fauteuils, aux affaires, aux élites, des pauvres, ils s’en fichent !
Tout le monde te vénère quand tu es au sommet, mais quand tu n’es plus là, tout le monde disparaît, comme le dit Uzzo Le Roi :  » Quand tu as quelque chose à offrir, ils sont tous là pour te baiser les mains, quand tu n’as plus rien, un coup de pied aux fesses « .  Pour moi, ces gens sont non seulement infâmes mais aussi stupides car ils ne pensent pas que ceux qui font le mal aujourd’hui le paieront demain.
Ce livre est une dénonciation humoristique et ironique d’un monde où seuls quelques-uns peuvent encore se regarder dans le miroir et avoir de la dignité et du respect pour eux-mêmes et pour les autres.
Voilà en quelques mots ce qu’est « Uzzo le roi« , la folie du pouvoir. ( Vincenzo Cirillo )